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Adjointe au chef de la mission des systèmes d’information ressources humaines (MISIRH)

À l’issue de son école d’ingénieur agronome, Lana a obtenu son premier poste au ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire au sein de la mission des systèmes d’information ressources humaines (MISIRH), rattachée au chef du service des ressources humaines. Ce qui convient parfaitement à cette jeune femme de 25 ans qui aime se lancer des défis.

Lana Kovatchevski

Publié le 12/02/2024

« Avoir un profil atypique peut être un vrai plus »

Data science, numérique et ressources humaines sont au cœur du quotidien professionnel de Lana depuis son arrivée au ministère il y a quelques mois. « Ce choix de poste pourrait surprendre », s’exclame-t-elle ! En effet, ces activités sont à première vue éloignées de son domaine de prédilection : l’agronomie.

L’envie d’étoffer ses compétences

Mais une fois son diplôme d’ingénieure agronome en poche, Lana n’a pas hésité à saisir l’opportunité de devenir l’adjointe au chef de la MISIRH. Depuis toute petite, elle est attirée par les sujets qui touchent au vivant. Elle a donc tout fait pour travailler dans ce domaine – classes préparatoires aux grandes écoles options biologie, chimie, sciences et vie de la terre, licence en faculté des sciences et techniques, puis Institut Agro-Dijon. Ce qui lui donne la possibilité de s’engager dans la fonction publique et d’intégrer le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire.

« Pourquoi j’ai choisi l’offre de la MISIRH et pas une autre plus en lien direct avec ma formation ? Le défi ! J’avais envie d’étoffer mes compétences et de me confronter à d’autres d’expertises très transverses. Et puis c’est un poste qui comporte du management et un fort pouvoir de décision. Pour une première expérience, ça me semblait très stimulant ! » Son profil atypique présente un vrai plus : « Avec cette mission, je découvre de nouveaux savoir-faire, mais j’apporte aussi ma connaissance des rouages du ministère et de ses enjeux, notamment en termes d’agroécologie. »

Ouverte aux opportunités qu’offre le ministère

À son arrivée, Lana se sent bien accueillie : « J’ai été très bien accompagnée pour m’approprier les attributs, le langage et les méthodes de mon métier. D’ailleurs, les chantiers ne manquent pas : protection sociale complémentaire, base de données sociales et tous les projets RH à conduire au fil de l’eau… »

Lana n’est en poste que depuis quelques mois. Par conséquent, elle ne se projette pas encore vers l’après. « Mais je sais qu’au ministère, il est possible d’avoir des carrières dynamiques grâce à la mobilité interne, au concours, aux examens. Donc, d’ici quelques années, je me dis que je pourrai avoir l’opportunité, si je le souhaite, de retourner vers des sujets en lien avec l’agronomie et l’économie. Pourquoi pas une expérience à l’étranger ? À Bruxelles ou en ambassade dans un autre pays en tant que conseillère agricole, par exemple… La voie est vraiment libre pour se projeter ! »

Le ministère en 3 mots par Lana

 

Diversité

« Et surtout la diversité de tous les domaines de compétences : enseignement agricole, santé végétale et animale, multiperformance des filières, sécurité alimentaire… Le choix est large et ouvert à des profils très variés. »

 

Transitions

« Travailler au ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, c’est être au cœur des grandes transitions (numériques, agricoles, écologiques…). »

 

Sociétal

« C’est l’un des aspects qui m’a donné envie de travailler au ministère : proposer une stratégie globale du système alimentaire, du champ à l’assiette du consommateur. »

Lana Kovatchevski